"La mère de Saint Symphorien, voyant qu’on le conduisait au martyre criait après lui : « Mon fils, mon fils, souviens-toi de la vie éternelle ; regarde le ciel et considère Celui qui y règne ; la fin prochaine terminera bientôt la brève course de cette vie. » Ma Philothée, vous dirai-je de même, regardez le ciel et ne le quittez pas pour la terre ; regardez l’enfer, ne vous y jetez pas pour les moments ; regardez Jésus-Christ, ne le reniez pas pour le monde ; et quand la peine de la vie dévote vous semblera dure, chantez avec saint François : « À cause des biens que j’attends, les travaux me sont passe-temps ». Vive Jésus, auquel, avec le Père et le Saint-Esprit, soit honneur et gloire, maintenant et toujours et ès siècles des siècles. Ainsi soit-il." (IVD V, 18, la Pléiade p. 317)
Jésus s’étonne et s’interroge de l’incrédulité de son entourage. « Vous connaissez les Écritures, vous les scrutez. Elles me rendent témoignage et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie. Recherchez la gloire qui vient de Dieu. »