Comme l’homme ne peut être perfectionné que par la divine Bonté, aussi le divine Bonté ne peut bonnement si bien exercer sa perfection hors de soi qu’à l’endroit de notre humanité : l’une a grand besoin et grande capacité de recevoir du bien, et l’autre a grande abondance et grande inclination pour en donner. (TAD I, 15, la Pléiade p. 396)
Ce deuxième passage du : « Chant du Serviteur » est la suite logique de celui lu hier. Jésus s’est livré lui-même pour les pécheurs dont Il portait les fautes. Dieu a fait de cette souffrance le Salut de tous. « J’ai fait de toi l’Alliance du peuple, la lumière des nations. »