“Mais parlez toujours de Dieu comme de Dieu, c’est-à-dire avec révérence et dévotement, non point faisant la suffisante ni la prêcheuse, mais avec l’esprit de douceur, de charité et d’humilité, distillant autant que vous savez (comme il est dit de l’Épouse au Cantique des Cantiques) le miel délicieux de la dévotion et des choses divines, goutte à goutte.” (IVD III, 26, la Pléiade p. 205)
L’Amour inconditionnel que Dieu nous porte peut nous déconcerter tant il nous paraît immense, démesuré, infini.
« Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi, fils de la terre ?
Qui donc est Dieu, si démuni, si grand, si vulnérable ?
Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi » ?