« Courage, ma fille, ne veuille pas mépriser les désirs de mon Fils, ni tant de soupirs que je jette pour toi, respirant avec lui ton salut éternel ». Voyez les saints qui vous exhortent, et un million de saintes âmes qui vous convient doucement ne désirant que de voir un jour votre cœur joint au leur, pour louer Dieu, à jamais, et vous assurant que le chemin du ciel n’est point si malaisé que le monde le fait. » (IVD I, 17, la Pléiade p. 64)
Dieu nous demande de nous détourner de notre conduite mauvaise. Une fois encore l’accent est mis sur la nécessité de la conversion, du refus du mal.
« Ne m’abandonne jamais, Seigneur, vite, viens à mon aide. »